Le coin des pétitions
NON à la FERMETURE D'APTIRA
L'état doit maintenir les missions d'intégration de la population immigrée sans le milieu non lucratif local !
Depuis plus de 50 ans, l’APTIRA – Association pour la Promotion et l’Intégration dans la Région Angevine - accueille, informe et dispense des formations aux populations immigrées et aux personnes socialement défavorisées afin de faciliter leur intégration sociale.
Ses missions sont de plusieurs ordres : juridique, social, culturel, formations linguistiques, médiation en santé publique, insertion socio-professionnelle. Connue et reconnue pour être un lieu « ressource » par les populations immigrées, les associations, les établissements de services publics, elle est essentielle et indispensable.
Aujourd’hui, la structure est en danger de disparition du fait de choix politiques faits par l’état.
Depuis plusieurs années, les subventions des différentes collectivités (état, région, département, municipalité) sont en forte diminution et l’association, implantée localement, a été écartée du dernier appel d’offre de l’OFII (Office Français de l’Immigration et Intégration) car l’état a fait le choix de privilégier les structures privées nationales, ce qui a provoqué une première vague de licenciements d’une quinzaine de personnes.
Cette situation a généré un déficit cumulé qui met en danger la quinzaine d’emplois directs que représente l’association (sans compter les emplois induits) et pose la question de la continuité des nombreuses missions qui sont assurées.
Cette dette empêche aussi la reprise de la structure par France Horizons qui ne peut pas absorber ce déficit.
VALEURS HUMAINES VS VALEURS MARCHANDES
Dans un contexte où l’extrême droite est de plus en plus présente dans le paysage politique, il est primordial de conserver une association dont l’expertise, l’implication et l’intérêt sur le territoire ont largement été démontrés.
Il est aussi choquant que, pour remplir ces missions citoyennes, l’état fasse le choix de les confier au secteur privé dont le but premier est de générer des plus-values. L’intégration devient, par ce choix, un nouveau secteur marchand.
La CGT alerte et demande à toutes et à tous de se mobiliser contre la fermeture de l’Association APTIRA.
Dans l’intérêt des salariés de l’Association, des immigrés, des travailleurs sociaux et de ceux travaillant à l’intégration des immigrés, la CGT demande que l’Association APTIRA ne soit pas fermée et poursuive ses activités.
La CGT se mobilise auprès des membres du Conseil d’Administration de l’Association, ainsi qu’auprès des pouvoirs publics pour assurer la continuité de l’APTIRA !
En signant cette pétition, nous réclamons :
- L’apurement de la dette de l’association APTIRA par l’état pour sauvegarder son activité et ne pas perdre son expertise dans les domaines de l’intégration des populations immigrées.
- La reconduction du contrat pluriannuel auprès de la collectivité Angevine.
- Un soutien financier renforcé de l’état, la région et du département sous forme de subventions.
L’abandon par l’état de la doctrine de marchandisation des appels d’offre de l’OFII.
Signez et faites signer autour de vous !
En scannant le QR Code
ou en cliquant sur le lien :
https://www.change.org/Petition-APTIRA
ou téléchargez la pétion "papier" :
10 10 2024 petition aptira (369.29 Ko)
Notre santé, ça nous regarde ! Signons pour un grand service public de la santé répondant à nos besoins en Pays de la Loire !
JE SIGNE POUR EXIGER DE :
1. Former plus de médecins généralistes et spécialistes pour lutter contre la pénurie :
46 % des territoires de la région des Pays de la Loire connaissent une pénurie de médecins[1]. Si 11 % de la population n’a pas de médecin traitant, certains territoires ligériens (notamment en Vendée et dans la Sarthe) dépassent le taux de 15 % d’habitants qui n’en bénéficient pas.
2. Résorber les déserts médicaux :
Actuellement, les médecins libéraux bénéficient de la liberté totale d’installation, à l’inverse par exemple des pharmacies. Pourtant, ils vivent grâce au financement de l’assurance maladie par la sécurité sociale. De plus, de nombreux médecins aspirent à partager leur travail pour vivre mieux.
3. Renforcer et développer les hôpitaux de proximité :
Les hôpitaux de proximité voient leurs services se regrouper et les urgences fermer de manière récurrente.
Retrouver l'intégralité de la pétition sur Change.org
SAUVONS ATOS ! Une alternative est possible !
Salarié-es d’ATOS, acteurs économiques et politiques, citoyen-nes, nous sollicitons votre soutien car vous êtes toutes et tous directement ou indirectement concerné·es par l’avenir de cette entreprise stratégique.
L’entreprise est exsangue et en danger alors qu’elle est sur un marché porteur et en pleine croissance.
Les ingrédients de la réussite sont présents : des compétences, des contrats de long terme, un savoir-faire dans tous les domaines qui intéressent les systèmes d’information des clients.
Aujourd’hui la direction envisage de démanteler ATOS et de vendre le groupe à la découpe, fragilisant ses différentes composantes.
Cette vente à la découpe serait catastrophique 1/ pour l’emploi des salarié·es concerné·es 2/ pour les capacités industrielles et économiques de la France et de l’Europe.
Les stratégies de croissance basées sur des acquisitions massives ont entraîné des répercussions négatives sur ses finances, entravant la capacité d’ATOS à investir dans l’innovation et la transition numérique. Ces difficultés ont été aggravées depuis 2019 par la valse des dirigeants qui compromet la stabilité de l’entreprise.
L’accumulation de dettes et les échéances de remboursement imminentes fragilisent à présent l’entreprise.
Nous, salarié·es d’ATOS, faisons des propositions alternatives pour rompre avec la logique de court terme et garantir le maintien et l’unité des activités du groupe.
Nous demandons :
- une intervention d’urgence du gouvernement, afin d’obtenir une renégociation / restructuration drastique de la dette permettant de desserrer la contrainte de court terme.
- une entrée au capital de la Banque publique d’Investissement (BPI) ou de la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC), pour engager l’État et rassurer les investisseurs. Ceci permettrait de poser les bases d’un véritable projet industriel de long terme, dans une forme intégrée conservant TOUTES les activités du groupe.
- un recentrage géographique sur l’Europe, la vente des activités américaines en garantissant l’avenir des salarié·es concerné-es et le changement complet de l’équipe dirigeante. Cette vente permettrait de s’affranchir des lois du Patriot Act et d’empêcher l’État américain de pouvoir accéder aux données critiques gérées par un nouvel ATOS purement européen. Elle apporterait une partie des liquidités nécessaires pour débloquer les contraintes financières du groupe.
La meilleure garantie pour l’avenir d’ATOS, c’est de développer ses politiques de recrutement, de formation, de rémunération et de R&D.
Cette position défendue par la CGT ATOS depuis bientôt deux ans est de plus en plus partagée par des experts économiques, des actionnaires, des médias et l’opinion publique.
ATOS doit renouer avec sa capacité à développer les technologies avancées du numériques, pas être une machine à créer du cash ou de la dette.
Le groupe ATOS c’est :
- Un acteur pivot de la souveraineté numérique de la France et de l’Union Européenne avec un rôle essentiel dans des secteurs stratégiques tels que la défense, la santé, la recherche scientifique, le nucléaire, Paris 2024…
- Un fleuron national historique de la gestion des services informatiques de bout en bout,
- 100 000 salarié·es dans le monde dont environ 10 000 en France,
- Un chiffre d’affaires de plus de 11 milliards d’euros en 2022.
Le gouvernement a annoncé le report de l’âge de la retraite à 64 ans avec un allongement accéléré de la durée de cotisation.
Cette mesure est injustifiée : le rapport du Conseil d’orientation des retraites (COR) l'indique clairement, le système de retraites n’est pas en danger. Il n’y a aucune urgence financière.
Cette réforme va frapper de plein fouet l’ensemble des travailleurs, et plus particulièrement ceux qui ont commencé à travailler tôt, les plus précaires, dont l'espérance de vie est inférieure au reste de la population, et ceux dont la pénibilité des métiers n'est pas reconnue. Elle va aggraver la précarité de ceux n’étant déjà plus en emploi avant leur retraite, et renforcer les inégalités femmes-hommes.
Ce projet gouvernemental n'a rien d'une nécessité économique, c'est le choix de l'injustice et de la régression sociale.
Renforcer notre système de retraites nécessite en revanche des mesures de progrès et de partage des richesses.
D’autres solutions sont possibles ! Je soutiens la mobilisation intersyndicale et je m’oppose à cette réforme : « je signe la pétition »
Vos données ne feront l’objet d’aucune collecte, ni d’aucun traitement de notre part.
Sur la même période, en France, la fortune des milliardaires a augmenté de 86 % depuis le début de la pandémie et 4 millions de personnes supplémentaires se sont retrouvées en situation de vulnérabilité, les 1% les plus riches ont vu leur niveau de vie augmenter de 2,8% en moyenne, quand les 5% des ménages les plus modestes ont perdu jusqu’à 0,5% de leur pouvoir d’achat.
On peut assez facilement constater que l’allègement de la fiscalité des plus riches dès le début du quinquennat n’a certainement pas bénéficié ni aux intérêts du pays ni à ses citoyens et a renforcé le creusement des inégalités.
Il est temps de viser non seulement la justice sociale mais aussi l’efficacité économique. L’allègement de la fiscalité indirecte telle la TVA peut être financé par l’augmentation de l’impôt sur les revenus du capital et sur la fortune.
Sans attendre après des promesses électorales car c’est aujourd’hui que des millions de français vivent dans l’incertitude de leur avenir, nous demandons :
- Le SMIC à 2 000 € brut et la revalorisation de tous les salaires dans le public et le privé ainsi que des pensions ;
- L'augmentation automatique de l'ensemble des salaires minima de branches dès lors que le Smic est revalorisé
- La baisse de la TVA à 5,5% sur les carburants, produits de première nécessité pour des millions de travailleurs.
- Le retour de l’impôt sur la fortune, son amélioration dans sa fonction de solidarité et de progressivité.
A la veille de commémorer les fusillés de la Résistance de Belle Beille et les 80 ans des fusillés de Châteaubriant et à la veille des élections présidentielles qui sont d’ores et déjà placées sous l’égide de l’exclusion et de la xénophobie, nous devons nous battre contre les idéologies qui séparent, qui bafouent le vivre ensemble et la dignité humaine.
La CGT a toujours combattu les idées d’extrêmes droite, cela fait partie de nos valeurs et nous vous invitons à signer la pétition (lien ci-dessous) pour la fermeture de l’Alvarium.
L’Alvarium gère un bar, rue du cornet à Angers. Il s’agit d’une association dirigée par des identitaires connus pour faire le coup de poing, avec comme seule justification le droit à l’auto-défense et aux réactions musclées (pour la défense de notre local nous ne craignons ni les attaques ni la prison !). Sur sa page Facebook on peut lire que l’Alvarium condamne la violence mais pas les auteurs et prône l’auto-défense populaire !
La seule solution pour fermer l’Alvarium, c’est de dissoudre l’association pour troubles à l’ordre public. !
Alors soyons nombreux à signer cette pétition pour lutter contre les idées nauséabondes de l’extrêmes droite.
Fraternellement.
XAVIER DUPEYROUX
Secrétaire Général de l’Union Départementale CGT 49.
Vendredi 10 septembre dernier, dans l’enceinte de l’entreprise STEF, aux Essarts-en-Bocage (Vendée), l’ambiance est revendicative. Une trentaine d’employés de ce leader européen du transport frigorifique, dont l’un entièrement cagoulé, brandissent des pancartes : « Harcèlement », « terreur », « honte à vous », « manipulation »… À de rares exceptions près, ce sont les cadres de la société. Ils crient en choeur : « Cassez-vous ! On ne veut plus de vous ! » La cible de leur colère ? Les deux délégués CGT de l’entreprise, MM. Mehdi Khechirem et Yoann Jadaud. Venus faire une visite à leur local syndical, face à un tel témoignage de chaleur humaine, tous deux finissent par quitter les lieux... sous l’oeil impassible du directeur du site.
C’est qu’à ses yeux, MM. Khechirem et Jadaud avaient commis l’irréparable. Le 24 juin, suite à une réunion mouvementée, la direction de STEF-Vendée lance une procédure de licenciement à l’encontre de ces deux syndicalistes. Depuis des mois, ceux-ci sollicitaient une réaction de l’entreprise : plusieurs salariés ultramarins et issus de l’immigration se plaignaient en effet de comportements racistes dans le cadre de leur travail – « bougnoule », « bamboula », imitation de singe, « retourne manger des bananes », « travail d’arabe », etc. MM. Khechirem et Jadaud enquêtent minutieusement, et lancent dans la foulée un « droit d’alerte pour atteinte aux droits des personnes ». En vain. Ils se heurtent à la passivité de leur direction, qui en guise de réponse, finit par les licencier – entretemps, durement éprouvées par l’affaire, les victimes du racisme ont quitté l’entreprise…
Celle-ci avait auparavant pris soin d’isoler les deux syndicalistes, en favorisant la création du syndicat CFTC en 2017. Ce syndicat « maison », qui a voté le licenciement de MM. Khechirem et Jadaud, n’a atteint que partiellement son objectif : s’il a réussi à prendre la première place aux élections professionnelles, la CGT demeure majoritaire dans le collège ouvriers… Tout en étant fragilisée, et par conséquent licenciable. Pourtant, cette logique de répression antisyndicale s’est heurtée le 8 septembre à un obstacle majeur : l’inspection du travail refuse alors le licenciement de ces deux salariés protégés, au motif qu’il n’est en aucun cas justifié. L’arme du droit était donc épuisée : pour la direction, restait l’action coup de poing illégale – une manifestation antisyndicale menaçante, à laquelle elle a apporté son soutien.
Il faut mesurer avec précision le message délivré par l’entreprise STEF-Vendée. Le racisme n’y est pas combattu. Le dénoncer vaut licenciement. Les décisions administratives, comme celle de l’inspection du travail, sont piétinées. Quant aux libertés syndicales, garanties par la Constitution, elles sont priées de « dégager ». À cet égard, la cagoule du manifestant vendéen antisyndical marque un sens réel de l’à-propos historique : dans les années 1930, les Cagoulards combattaient la gauche syndicale et politique les armes à la main. Nous savons où leurs dérives ont alors conduit le pays. Aujourd’hui, dans un contexte d’offensive politique quotidienne de l’extrême-droite, « séparatisme » gouvernemental inclus, et alors que les écrans sont saturés d’idéologie raciste dont la condamnation par les tribunaux semble garantir le maintien à l’antenne, on assiste dans le même temps à un recul organisé des droits syndicaux. Ce moment historique est propice à toutes sortes de dérapages, qui dès lors sont tout sauf anecdotiques. La manifestation antisyndicale de STEF-Vendée a par conséquent valeur d’avertissement, et revêt un caractère national d’une particulière gravité.
Le combat de MM. Khechirem et Jadaud nous rappelle en effet que la lutte contre le racisme est indissociable de la lutte pour l’égalité. Face à cette arme de division massive qui fut toujours maniée par les puissants, ces deux syndicalistes répondent que le seul clivage existant est celui qui sépare l’employeur de ses salariés – d’où qu’ils viennent et quoiqu’ils croient. Les frontières ne passent pas entre les peuples : elles passent entre le haut et le bas. Dans le contexte actuel, ce message fondamental, dont nous sommes solidaires, dérange. En particulier le PDG du groupe STEF, M. Stanislas Lemor, qui revendique rarement auprès de ses salariés sa présence dans le palmarès des 500 plus grosses fortunes françaises…
La lutte quotidienne contre le racisme et pour l’égalité que mènent MM. Khechirem et Jadaud est exemplaire. Nous la conduirons avec détermination à leurs côtés, et nous opposerons à chacune des entraves qui pourrait leur être opposée. À cet égard, nous exigeons que le groupe STEF mette un terme immédiat à ses agissements antisyndicaux, et comme la loi l’y oblige, garantisse leur sécurité au travail et le libre exercice de leurs droits syndicaux. Leur combat est le nôtre.
Loi sanitaire et régressions sociales à venir
Comment justifier qu'un pass sanitaire permette :
- de discriminer à l'embauche, de suspendre le salaire ou de licencier des salarié·e·s, en CDD ou précaires, parce qu’ils·elles ne sont pas vacciné·e·s ?
- de refuser des patient·e·s dans les hôpitaux pour la même raison ?
- d’instaurer un contrôle et une surveillance généralisés sur la population et de diviser la population entre vacciné·e·s et non vacciné·e·s ?
En même temps, peut-on accepter que la casse de l’hôpital public continue ? Que la crise soit payée, non pas par les multinationales et les plus riches qui en ont profité, mais par tous les autres, notamment les travailleur·euse·s, les jeunes, les chômeur·euse·s, les retraité·e·s ?
Une vaccination large et massive est nécessaire pour combattre la pandémie, ainsi qu'une autre politique, juste et démocratique. Nous, signataires, nous opposons à la loi sanitaire et aux régressions sociales à venir.
Signez la pétition !
les étudiant.e.s ne sont pas des être humains non-essentiels
Que vous soyez étudiants, formateurs, professionnel du travail social, ou citoyen avertis, vous n'êtes pas sans ignorer les difficultés engendrées par la crise que nous connaissons.
Cette pétition émane d'un collectif d'étudiant en travail social basé à l’ARIFTS. Il est mobilisé contre les risques de décrochage, de mal-être, d'isolement auxquels sont exposés leurs collègues de formations.
Cette pétition est un cri d'alerte, un appel aux gestionnaires, organisateurs, financeurs et dépositaires de ces formations. La situation est urgente. Plusieurs de nos collègues ont déjà arrêté ou mis en suspens leur formation, d’autres rencontrent actuellement de préoccupants troubles psycho-sociaux et les conditions de formation à distance ne nous semblent pas être un facteur d'amélioration.
Pas de profit sur la pandémie !
La COVID-19 se propage comme un feu de forêt. Les solutions doivent se propager plus rapidement encore. Personne n’est en sécurité tant que tout le monde n’a pas accès à des traitements et des vaccins sûrs et efficaces.
Nous avons tous droit à la protection.
Signez cette initiative citoyenne européenne afin que la Commission européenne prenne des mesures pour faire des vaccins et des traitements anti-pandémiques un bien public mondial, librement
STOP AUX VIOLENCES SEXISTES
30%
des salariées en France ont déjà été harcelées ou agressées sexuellement sur leur lieu de travail. Or 70 % des victimes de violences au travail déclarent n’en avoir jamais parlé à leur employeur. Et pour cause : quand elles le font, 40 % estiment que la situation s’est réglée en leur défaveur, par une mobilité forcée voire un licenciement.
Une convention existe, il faut la ratifier
Le 21 juin 2019, l’Organisation internationale du travail (OIT) adoptait la première norme internationale contre la violence et le harcèlement dans le monde du travail. Arrachées par la mobilisation des femmes et le mouvement syndical, la Convention 190 de l'OIT et la recommandation qui l'accompagne sont novatrices et ambitieuses.
Or ces progrès majeurs ne pourront voir le jour que si cette convention est ratifiée par les États.
Tandis que l’Uruguay est le premier pays au monde à l’avoir ratifiée, le silence semble de mise en France. Le gouvernement refuse de créer de nouvelles obligations de prévention et de protection contre les violences dans le droit du travail.
Nous demandons au gouvernement français de ratifier la convention contre les violences et le harcèlement dans le monde du travail et de modifier la loi française pour enfin mettre fin aux violences sexistes et sexuelles
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